7/1/16 L'homme aurait crié "Allah Akbar" en tentant d'agresser un policier à l'accueil

BFM TV va se faire fameusement taper sur les doigts pour avoir diffusé ces témoignages qui démontrent très clairement que la pseudo attaque terroriste de ce jeudi 7 janvier contre un commissariat de Paris n'est en réalité rien d'autre qu'une grave bavure policière ! Pratique la menace terroriste pour cacher une terrible bavure policière ! Maintenant, peut-être dira-t-on que ces témoins ne sont pas crédibles car ils sont peut-être d'origine arabe. Qui sait, peut-être dira-t-on demain que ces témoins sont même en fait des complices... Dans la manipulation actuelle, tout est aujourd'hui possible ! Je vous encourage tous à diffuser ces témoignages pour dénoncer cette bavure déguisée en tentative d'attentat.


La menace terroriste créée par nos gouvernements vendus aux sionistes donne-t-elle aujourd'hui le droit de tuer des "Arabes" en toute légalité en plein coeur de l'Europe ? Il y a de quoi le craindre tant différents témoignages semblent confirmer que l'homme abattu hier à Paris n'était ni armé ni porteur d'explosifs ni un extrémiste. Hier, la police aurait donc paniqué pour une raison inconnue et elle aurait ensuite ouvert le feu sur un innocent. Le tout aurait été maquillé en attentat islamiste. Avec la menace terroriste inventée, il semble qu'après l'armée, ce soit à la police qu'un permis de tuer des Arabes en toute légalité ait été octroyé !

Laurent Louis

Avec cet épisode d’une nouvelle action policière qui s’est soldée par la mort d’un homme, nous constatons deux choses: d’une part, l’unanimité de la presse pour une présentation des faits comme une exécution sinon légitime, du moins justifiée, et d’autre part, il y a disparition totale de la notion de bavure policière, notion qui faisait la joie de cette même presse il y a quelques années. Nous sommes désormais alignés aux méthodes étatsuniennes, avec un peu de retard. La police peut tuer sur de simples présomptions de risques vagues, ce sera toujours justifié par les médias par l’idée que la France n’est plus peuplée que de terroristes potentiels armés de n’importe quel outil saugrenu, ici un hachoir, mais demain qu’est-ce que ce sera? RI

Commissariat attaqué : les "proches" de Tarek B. réfutent les accusations de terrorisme

Plusieurs proches supposés de l'homme tué jeudi 7 janvier devant un commissariat du 18e arrondissement parisien par les forces de l'ordre se sont exprimés via des radios privées tunisiennes. Un homme, se présentant comme le père de l'assaillant, affirme que ce dernier ne faisait partie d'aucun réseau terroriste.

Plusieurs personnes se présentant comme des proches de l'homme abattu par la police jeudi dernier devant le commissariat de la Goutte-d'Or (Paris) se sont exprimés ce samedi. Ils nient le caractère terroriste de l'acte perpétré par l'assaillant.

Une vidéo diffusée par la radio privée Sabra FM dévoile notamment une femme, tunisienne, présentée comme étant la mère de l'agresseur, qui affirme que ce dernier "est allé (au commissariat) pour son passeport. Je lui ai dit : 'Je vais être opérée à la main je veux te voir (...) il m'a demandé de lui envoyer des extraits de naissance, il était alors en Allemagne. Ils l'ont suspecté parce qu'il avait un sac banane pour mettre son téléphone ? C'est pour ça qu'ils ont tué mon fils ! La France a tué mon fils, je veux les droits de mon fils et rien d'autre !".

"Il cherchait à faire ses papiers"

Mais ce n'est pas tout. Une autre radio privée tunisienne, Mosaïque FM, a donné la parole sur son site à Djamel Ben Abbes, qui se définit comme un proche de "Tarek". Il déclare que l'assaillant "s'appelle Tarek Belgacem, 25 ans. Il se trouvait en Allemagne puis est rentré en France (...) Il cherchait à faire ses papiers pour y séjourner légalement".Une identification qui concorderait avec la piste suivie par les enquêteurs. En France, le nom de "Tarek Belgacem" a en effet été avancé

Un homme présenté comme le père de "Tarek" affirme de son côté que ce dernier "n'appartenait à aucune" organisation à caractère terroriste..

Rappel des faits

Jeudi 7 janvier à 11h30, un homme d'une vingtaine d'années porteur "d'une arme blanche de type feuille de boucher" et d'un dispositif explosif factice "s'est présenté devant le commissariat du XVIIIe arrondissement, a exhibé son arme et crié "Allah Akbar" (Dieu est le plus grand, en arabe, NDLR) avant d'être abattu par les policiers en faction" a expliqué le procureur de la République de Paris, François Molins. L'agresseur est "en cours d'identification".

Selon le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, il est connu des services de police pour une affaire de vol en réunion en 2013 à Sainte-Maxime (Var). A l'époque des faits, l'homme avait déclaré aux gendarmes chargés de l'enquête s'appeler Sallah Ali. Il se présentait comme un sans-domicile fixe, né en 1995 à Casablanca au Maroc. Ses empreintes avaient alors été enregistrées et elles correspondent à celles de l'homme tué.

Mais son apparence laisse toutefois planer le doute sur son âge réel. Il fait plus âgé, "une trentaine d'années". Sallah Ali pourrait finalement être une fausse identité. Il pourrait en réalité s'appeler Tarek B. Il était en possession d'une lettre hier quand il a été abattu, signée d'un certain "Tarek B." Dans son téléphone ont été retrouvés des SMS, certains en arabe, d'autres en allemand. Autant d'éléments qui vont permettre aux enquêteurs de retracer son parcours et de tenter de savoir qui il était vraiment.

Attaque d'un commissariat à Paris : "La France a tué mon fils"

Des Tunisiens se présentant comme des proches de l'auteur de l'attaque de jeudi contre un commissariat de Paris ont rejeté samedi auprès de médias tout lien entre cet homme et des groupes extrémistes.